Il est suspecté que Pékin se serve de l’application vidéo, détenue par le groupe chinois ByteDance, pour récolter des informations sur les utilisateurs à des fins politiques, pouvant nuire aux intérêts sécuritaires occidentaux.

Dans un communiqué, le ministre australien de la Justice a déclaré que cette interdiction entrerait en application « aussi tôt que réalisable », ajoutant que des exemptions pourraient être accordées au cas par cas avec des mesures sécuritaires appropriées.

Reuters